vendredi 26 novembre 2010

Nouvelle ère Pharmaceutique !

L'ère du micro-pucage pharmaceutique est arrivée !!!

Un des leaders mondiaux, NOVARTIS AG, a dévoilé un nouveau projet : Implanter des micro-puces dans les médicaments.

L’idée derrière tout cela est de créer des « pilules intelligentes » qui peuvent détecter ce qu’il se passe dans le corps et délivrer cette information au médecin du patient. Novartis prévoit de commencer à micro-pucer ses médicaments anti-rejet de transplantation d’organe et puis potentiellement étendre le micro-puçage à d’autres produits de sa gamme pharmaceutique. Cette même technologie pourrait également bientôt se retrouver dans des pilules fabriquées par d’autres sociétés pharmaceutiques.

Cependant, quelques septiques se posent des questions. Pour commencer, Novartis ne prévoit apparemment pas de réaliser des essais cliniques qui pourraient prendre en compte les problèmes liés à l’ingestion de micro-puces. « Novartis ne s’attend pas à devoir conduire des essais cliniques approfondis afin de prouver que les nouveaux produits fonctionnent », rapporte Reuters. « A la place, son but est de réaliser de soi-disant tests de bio-équivalence afin de montrer que ce sont les mêmes que les originaux. »

Il y a un autre problème important soulevé par les micro-puces qui transmettent des données : la confidentialité de ces données. Si les informations peuvent être récupérées par votre Médecin, par émission de donnée, comment être sur que personne d'autre ne peut récupérer ces informations ? Il y a des "Crackers" pour qui la technologie et le piratage n'ont aucun secret. Comment être sur que les informations contenues dans ces micro-pilules ne seront pas accessible ?  

On peut aller plus loin encore. Les personnes qui prennent ces médicaments émettent des informations, il suffit donc d'un simple récepteur pour savoir si la personne est malade ou  non. Il serait alors tellement facile de faire de la discrimination à l'embauche. Lors d'un entretient si vous afficher vert, c'est bon, sinon "on vous recontactera. Et là comment prouver cette faute de l'entreprise.

Aujourd'hui, le problème des grandes avancés reste majoritairement juridique et morale. Certes, c'est un plus pour le patient, mais les travers possibles doivent être également considérés.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire