Personne ignore que la situation actuelle de la Sécurité Sociale est déficitaire. Face à ce problème le gouvernement se doit de réagir afin de résoudre ce problème.
Actuellement, seuls les pharmaciens diplômés ont le droit de vendre des médicaments en France. Cela crée un monopole. Or un monopole implique toujours une situation de marché non efficiente où la fixation des prix est arbitraire et ne résulte pas de la rencontre entre l'offre et la demande. De même, seuls les pharmaciens peuvent détenir une pharmacie et une seule. Par conséquent, les pharmacies sont des petites entreprises. Il est alors plus difficile pour elles de baisser le coût de leurs achats et donc de baisser leur prix de revente. C'est pourquoi il existe déjà des groupements de pharmaciens prêts à s'associer pour lancer une enseigne dès l'autorisation de l'ouverture du capital.
C'est ces principes là qui sont en ligne de mire car c'est eux qui empêchent la baisse des prix des médicaments et donc qui engendrent le trou de la Sécurité Sociale. Des projets de réformes prévoient l'ouverture du capital des pharmacies à des investisseurs non pharmaciens. De ce fait de grands groupes de pharmacies pourraient être crées entraînant la diminution des coûts d'achats des médicaments, c'est le principe des économies d'échelles.
De même, l'État a comme projet d'autoriser la vente de médicaments sans ordonnances dans les grandes surfaces ou encore sur Internet. La perte du monopole des pharmacies permettrait une concurrence plus rude et donc une baisse des prix pour le consommateur final. Certains, comme le groupe E. Leclerc, revendiquent depuis longtemps le droit de vendre des médicaments et s'y préparent d'ores et déjà à travers l'installation de parapharmacies qui serviront de lieu de vente de médicaments dès le passage de la réforme.
Tout les opérateurs ont donc déjà anticiper la révolution dans le domaine de la distribution de médicaments, il leur suffit, à présent, d'attendre que les réformes soient effectives...
Actuellement, seuls les pharmaciens diplômés ont le droit de vendre des médicaments en France. Cela crée un monopole. Or un monopole implique toujours une situation de marché non efficiente où la fixation des prix est arbitraire et ne résulte pas de la rencontre entre l'offre et la demande. De même, seuls les pharmaciens peuvent détenir une pharmacie et une seule. Par conséquent, les pharmacies sont des petites entreprises. Il est alors plus difficile pour elles de baisser le coût de leurs achats et donc de baisser leur prix de revente. C'est pourquoi il existe déjà des groupements de pharmaciens prêts à s'associer pour lancer une enseigne dès l'autorisation de l'ouverture du capital.
C'est ces principes là qui sont en ligne de mire car c'est eux qui empêchent la baisse des prix des médicaments et donc qui engendrent le trou de la Sécurité Sociale. Des projets de réformes prévoient l'ouverture du capital des pharmacies à des investisseurs non pharmaciens. De ce fait de grands groupes de pharmacies pourraient être crées entraînant la diminution des coûts d'achats des médicaments, c'est le principe des économies d'échelles.
De même, l'État a comme projet d'autoriser la vente de médicaments sans ordonnances dans les grandes surfaces ou encore sur Internet. La perte du monopole des pharmacies permettrait une concurrence plus rude et donc une baisse des prix pour le consommateur final. Certains, comme le groupe E. Leclerc, revendiquent depuis longtemps le droit de vendre des médicaments et s'y préparent d'ores et déjà à travers l'installation de parapharmacies qui serviront de lieu de vente de médicaments dès le passage de la réforme.
Tout les opérateurs ont donc déjà anticiper la révolution dans le domaine de la distribution de médicaments, il leur suffit, à présent, d'attendre que les réformes soient effectives...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire