Des études récentes ont montrés que la recherche permet de guérir de plus en plus de cancers aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Néanmoins ces résultats sont contrastés par une forte augmentation du nombre de cancers ces dernières années. De ce fait même si plus de malades guérissent, il y en a toujours autant qui meurent du cancer.
C'est pourquoi, l'association Génération Futures et le réseau européen Health et Environnement Alliance ont lancé, à travers la campagne "cancers et environnement", une étude permettant de montrer la corrélation entre nos habitudes alimentaires et l'augmentation du nombre de cancers. En effet, ces deux associations souhaitent alerter l'opinion public et les autorités sur le fait que l'augmentation du nombre de cancers n'est pas uniquement lié au tabac et à l'alcool mais également aux nombres de produits chimiques présents dans nos produits alimentaires.
Suite à ces résultats les autorités vont communiquer d'ici fin 2010 un plan stratégique afin de lutter contre ce phénomène. Les premières mesures de ce plan devraient être appliquées à partir de 2012. Les associations attendent le résultat de ce plan stratégique avec beaucoup d'espoir même si elles préfèreraient voir des règlementations prises au niveau européen afin d'avoir un impact plus important.
C'est pourquoi, l'association Génération Futures et le réseau européen Health et Environnement Alliance ont lancé, à travers la campagne "cancers et environnement", une étude permettant de montrer la corrélation entre nos habitudes alimentaires et l'augmentation du nombre de cancers. En effet, ces deux associations souhaitent alerter l'opinion public et les autorités sur le fait que l'augmentation du nombre de cancers n'est pas uniquement lié au tabac et à l'alcool mais également aux nombres de produits chimiques présents dans nos produits alimentaires.
Ils ont réalisés une enquête auprès d'enfants afin de connaître leurs habitudes de consommation au petit-déjeuner, déjeuner, goûter, dîner. Cette étude leur a permis de mettre en évidence la présence de pesticides, dioxine, PCB, additifs problématiques et transferts de plastiques alimentaires vers les aliments (phtalates et BPA). Parmi ces composants l'étude a révélé81 composants chimiques dont 47 cancérigènes avalés, en moyenne, par chaque enfant au cours d'une journée.
Suite à ces résultats les autorités vont communiquer d'ici fin 2010 un plan stratégique afin de lutter contre ce phénomène. Les premières mesures de ce plan devraient être appliquées à partir de 2012. Les associations attendent le résultat de ce plan stratégique avec beaucoup d'espoir même si elles préfèreraient voir des règlementations prises au niveau européen afin d'avoir un impact plus important.
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