jeudi 31 mars 2011
GSK détrône Sanofi-Aventis
L'oeil visionnaire de Sanofi-Aventis
vendredi 25 mars 2011
Le Japon innocente PFIZER et SANOFI AVENTIS
jeudi 24 mars 2011
Semaine nationale de lutte contre le cancer.
Nouvel objectif pour Sanofi Pasteur !!!
jeudi 17 mars 2011
Coup dur pour les concurrents des laboratoires pharmaceutiques...
Rapport Accablant pour l'AFSSAPS !!
Dans l'introduction de leur texte de 85 pages, ils notent tout d'abord que l'affaire du Mediator «est beaucoup plus qu'un accident isolé». Leur texte s'en prend à la Haute autorité de santé, mais surtout à l'Afssaps. Ils dénoncent cette structure de 1.000 employés, dotée de cinq directions scientifiques, de trois commissions - dont «l'une dit toujours oui, en acceptant une foule de médicament inutiles, et l'autre non, refusant presque toujours de suspendre ou de retirer les médicaments même plus dangereux qu'utiles» - ainsi que de 75 groupes de travail, de missions transversales, d'un conseil scientifique...
Si la majorité des autorisations de mise sur le marché (AMM) de médicaments sont décidées au niveau européen, le rapport pointe la lourdeur de la commission d'AMM de l'Afssaps, forte de «28 membres choisis sur des critères très contestables, où domine la cooptation relationnelle de hasard». Les conflits d'intérêts sont moyennement respectés, les auditions des experts ne sont pas publiques, les compte-rendus de séance «peu fidèles». «De nombreux membres ignorent presque tout du dossier sur lequel ils votent, et même de la pathologie en cause», dénoncent les Pr Debré et Even. La procédure de la commission de pharmacovigilance, par ailleurs, est qualifiée d'«extraordinairement lente». La rapport parle d'une «course d'obstacles et de montagne par étapes, qui privilégie clairement l'intérêt des firmes et non celui des patients».
Le rapport souligne «la totale faillite de l'Afssaps», «une usine à gaz», «un labyrinthe dont rien ne peut sortir», faute «de directions d'envergure». Il suggère «une réforme profonde» qui réoriente l'Afssaps vers des missions d'analyse scientifique avec 20 à 40 experts de haut niveau, sans conflit d'intérêt, et non plus 3.500 experts. Il recommande aussi de remanier le fonctionnement de l'agence en remplaçant des cadres supérieurs et en supprimant la machine administrative. Il propose aussi de simplifier le système d'alerte des médecins matière de pharmacovigilance. Au passage, le rapport relève la nécessité d'un grand ministère de la santé, de la vieillesse et de la dépendance, «sans lien», comme c'est le cas actuellement, «avec le travail et l'emploi».
mardi 15 mars 2011
Lilly met nos animaux de compagnie sous anxiolytiques.
dimanche 13 mars 2011
Deux vaccins issus des laboratoires Pfizer et Sanofi-Aventis suspendus au Japon.
Les autorités ont pris cette décision en raison du décès de quatre enfants qui avait été traités par ces vaccins. A ce jour, les experts n'ont pas déterminés de liens directs entre la prise de ces vaccins et les décès. Mais, par soucis de sécurité ils préfèrent suspendre la commercialisation jusqu'aux résultats de nouvelles études concernant ces vaccins.
samedi 12 mars 2011
Le Plan Médicament, ou quand les Mutuelles s'en mêlent !!!
mardi 8 mars 2011
Les retraits de médicaments continuent...
lundi 7 mars 2011
Sanofi finalise le rachat de BMP Sunstone
lundi 28 février 2011
Conflits d'intérêts dans les réformes pour réguler...les conflits d'intérêts !!!
vendredi 25 février 2011
Les épidémies : une valeur sûre pour les Laboratoires.
lundi 21 février 2011
Sanofi Aventis et Genzyme sont (enfin) parvenus à un accord.
Lilly France : la vidéo qui fait scandale !
Alors que l'image de l'industrie pharmaceutique est déjà dégradée avec l'affaire du Mdeiator, voilà que le laboratoire Lilly France fait à son tour scandale. En effet, lors d'une visite du laboratoire Lilly début janvier, les visiteurs ont eu une projectin vidéo particulière...
La vidéo qui parodiait une publicité dela marque Orangina montrait un commercial de laboratoire malmener un médecin afin qu'il préscive du Zypadhera. Or le Zypadhera se trouve être le dernier médicament commercialisé par Lilly et traite la schizophénie.
Cette vidéo interne avait pour but d'inciter les médecins présents à préscrire le Zypadhera avec une touche d'humour. Mais le site Internet du journal Libération a publié cette vidéo au public. Evidemment, cette vidéo a choquée et nombreux sont ceux qui dénoncent les pressions faites par les laboratoires sur les médecins afin qu'ils prescrivent leurs médicaments et pas ceux des concurrents.
En cette période de tension dans l'industrie pharmaceutique où les conflits d'intérêts et diverses pressions sont fortement dénoncées, il n'en fallait pas plus pour déclencher un nouveau scandale. Les laboratoires Lilly France ont déclarés que ce type d'incident était regrettable et que des sanctions allaient être prises en interne.
Pour voir la vidéo qui fait scandale, c'est juste ici :
mercredi 9 février 2011
1er Bébé Médicament en France : Prolème de Bioéthique
Les spécialistes parlent de «bébé du double espoir», car les méthodes utilisées pour aboutir à sa naissance offrent aux parents l'espoir d'avoir un enfant qui ne souffrira pas d'une grave maladie comme ses aînés, et qui permettra aussi, avec le sang de son cordon ombilical, de soigner sa soeur aînée atteinte d'une maladie génétique grave, la bêta-thalassémie. Hier, le professeur Frydman, à l'origine de cette première française, a déclaré « Il nous faut une loi qui nous permette de développer l'innovation et la recherche pour améliorer la qualité des soins», a-t-il martelé tout en pointant les influences idéologiques à l'oeuvre qui font peser des «menaces», selon lui, sur l'exercice de cette médecine de la procréation alors qu'on est dans un «État laïc».
De fait, cette naissance n'a pas manqué de susciter un flot de réactions, notamment de la hiérarchie catholique. «Je salue bien sûr le prodige que constitue cette naissance», a ainsi estimé Mgr André Vingt-Trois, président de la Conférence des évêques de France. «Cet enfant est un instrument pour essayer de guérir un autre enfant». «Allons-nous devenir des instruments? J'y suis tout à fait opposé», a souligné le prélat, réjoint par Mgr d'Ornellas, archevêque de Rennes. «Vouloir guérir son frère en humanité est à l'honneur de l'homme. Tant de personnes y consacrent leur vie! Accompagner la souffrance de parents qui ont un enfant gravement malade est un devoir de la société», écrit ce dernier dans un texte signé par les évêques du grand Ouest. «En revanche, légaliser l'utilisation de l'être humain le plus vulnérable pour guérir est indigne de l'homme (...) Que dira l'enfant quand il se découvrira bébé-médicament», s'interrogent-ils.
La Guerre des Labos contre les Génériques !!!
« En 2009, Bruxelles avait dénoncé la «boîte à outils» des labos pour retarder ou empêcher l’arrivée de nouveaux génériques. Un an plus tard pourtant, la déléguée générale du Gemme, association de 11 fabricants de génériques français, ironise : «On ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup de changements depuis…». »
« La situation aurait même empiré aux dires de l’Autorité de la concurrence, qui parle de «fait nouveau» à propos de trois affaires liées aux génériques dont elle a été saisie l’été dernier ».
« Pour les labos, tous les coups sont permis », et se penche sur la « variété des pratiques mises en place par les labos pour se protéger et retarder la percée des génériques ».
Le quotidien constate que « cette tension s’explique par deux phénomènes. D’une part, les labos ne trouvent plus de grands médicaments rentables, d’autre part, plusieurs brevets protégeant des poules aux œufs d’or […] tombent progressivement depuis 2009 dans le domaine public ».
« Reste que la percée des génériques, censée réduire la charge de l’assurance maladie, est toujours à la peine. Les médecins ont encore des efforts à faire. Ils ne prescrivent des génériques que sur 30% des ordonnances ».
Le Dr Claude Leicher, président de MG France « convaincu du bienfait » des génériques, affirme que « quand on dit que les médecins ne prescrivent des génériques que sur 30% des ordonnances, c’est simplement parce qu’ils sont au maximum de ce qui est faisable, car les génériques ne représentent que 14% du marché des médicaments ...